Pendaison de la crémaillère : Et si la raison de l'existence de cette coutume populaire prenait sa source dans une relation sacrée de l'homme à son environnement ?

Intimement convaincue sur les intentions sacrées dans l'acte de prendre la crémaillère, mes recherches sur le sujet m'ont apporté la validation.

La pendaison de la crémaillère est une coutume qui nous vient du moyen âge : une fois la construction de la maison terminée, il était d'usage de remercier les participants par un repas festif dans le nouveau domicile. A l'époque, la cheminée était la pièce angulaire de la maison où l'on suspendait la marmite à une crémaillère au dessus du foyer. C'était le dernier élément installé qui signifiait la fin de l’emménagement. Cette expression "pendre la crémaillère" a traversé les époques jusqu'à aujourd'hui.

Et aujourd'hui les crémaillères ont conservé cet aspect festif et joyeux, les intentions cachées derrière n'ont pas résisté à l’ère moderne et cartésien.

Et pourtant, cela est si important et déterminant dans l'épanouissement des habitants du lieu fraîchement investi.

L'empreinte énergétique est un fait que les sensitifs et autre médium témoignent.

L'habitation qu'elle soit récente ou ancienne contient une mémoire, une accumulation d'informations qui peuvent de par leur stagnation ou leur origine être négatives ou perturbantes.

La pendaison de la crémaillère est une célébration qui permet de nettoyer le lieu de ses anciennes "scories" et d'apporter des énergies nouvelles, saines et bénéfiques pour les nouveaux propriétaires. Les rires, la joie, la convivialité et le bonheur partagés lors de cette crémaillère peuvent paraître anodins dans la qualité énergétique mais au contraire cela contribue à élever le niveau vibratoire, à chasser l'ancien pour accueillir le nouveau qui s'en vient. Les émotions joyeuses vécues et exprimées sont, elles aussi, des informations énergétiques qui vont constituer l'ambiance, les mémoires à venir du lieu. Une nouvelle page de vie de la maison s'ouvre avec uniquement la signature énergétique des nouveaux habitants.

Partager un repas festif et joyeux ne suffit pas : les Anciens pratiquaient des rituels, faisait appel à des personnes expertes dans la purification énergétique des lieux de vie pour chasser les entités, passer les âmes désincarnées et/ou errantes, déplacer les cheminées cosmotelluriques novices par exemple. Le lieu était béni. Dans certaines cultures le lieu est gardé par un gardien dont il est bon d'avoir sa bénédiction avant l’emménagement.

Et il reste des traces aujourd'hui de ces anciennes pratiques dites "païennes".

On retrouve dans différentes cultures, des coutumes d'offrandes pour chasser le mauvais œil et apporter l'abondance :

- En Thaïlande, les moines étaient invités à venir dans le nouveau logement pour réaliser des rituels apportant abondance; s'en suivait un repas de fête dont les plats étaient composés de curry et de nouilles symbolisant la prospérité et l'espoir.

- En Inde, la pendaison de la crémaillère est appelée " Grinha Pravesh ". Les jours de déménagement et d'emménagement étaient déterminé en fonction des jours favorables de la semaine et du cycle lunaire. Une vache faisait le tour de la maison pour apporter la chance dans le logis.

- En Chine, la chose était prise au sérieux, la circulation de l'énergie appelée "qi" dans la maison devait être fluide. Pour se faire, on appliquait les règles de feng shui. Le jour du déménagement n'était pas choisi par hasard : Afin d'apporter chance, prospérité et nouveau départ le déménagement se devait être un jour de chance et se dérouler avant midi.

- Au Royaume-Uni, lors des "housewarming" il est d'usage que les convives viennent avec une bûche de bois pour notamment purifier les lieux par le feu de cheminée et ainsi chasser les mauvais esprits.

- En Italie, les convives apportaient du poisson frit qui était considéré comme étant efficace pour éloigner le mauvais œil.

(source :  https://www.moveagain.ch/beratung/fr/cremailleres-coutumes-et-rituels/)

Cela peut prêter à sourire à la lecture de ces coutumes, ces habitudes sont pourtant les traces d'une pratique ancienne de nettoyage énergétique maîtrisée et usitée (d'usage).

Aujourd'hui, alors que les pendaisons de crémaillère reste un moment convivial et festif, la pratique du nettoyage énergétiques des lieux de vie se développe et gagne en crédibilité par une hausse des expériences vécues par un nombre de plus en plus grand d'entre nous.

Les constructeurs immobiliers ne se fient plus aux lois que les Anciens appliquaient (orientation de la maison par rapport aux points cardinaux, implantation en fonction d'études géobiologiques, calendrier des astres etc)

De plus, l'empreinte énergétique des habitations n'est plus neutralisé systématiquement par des nettoyages à l'emménagement et de manière régulière par la suite (à chaque saison ou à chaque évènement douloureux - deuil, maladie, perte d'emploi).

Nous sommes des êtres en interaction avec tout ce qui nous entoure de manière vibratoire, informationnelle. Opter pour cette vision quantique apporte des informations explicatives et cohérentes sur notre vécu. Prendre soin de soi, veiller à sa santé, son équilibre et sa prospérité demande alors de prendre conscience de l'impact de nos propres empreintes énergétiques (dépôt de nos émotions), de celles des lieux et également des personnes avec qui nous sommes en relation.

Nous ne faisons qu'un avec notre écosystème par les échanges énergétiques permanentes.